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MANNAERT Alberte

indemne ainsi que toute sa famille d’une embuscade lors de l’invasion allemande, mai 1940.
Marquée par ce drame, elle fera fi des frontières et des nationalismes exacerbés.
Dès l’adolescence elle se réfugiera dans la musique, la poésie, le dessin et la danse.
À travers toutes les embûches, la peinture et l’écriture resteront son jardin secret.
Des voyages réguliers en Italie à travers les musées d’Europe et Outre-Atlantique ont développé en elle l’amour de l’art.
L’Académie des Beaux-Arts à Bruxelles lui a enfin permis de donner libre cours à son besoin de créativité. Rencontres d’autres peintres, tels Delvaux et Delmotte, expositions durant de nombreuses années. La perte de son époux la fait changer d’horizon. Elle dira  » J’ai déposé mes pinceaux pour prendre la plume « .
 » La peinture est déjà une écriture en soi « .

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