Rêves pour une plume
L’histoire est belle, et elle est vraie ! Si vous lisez » Rêves pour une plume « , vous ferez la connaissance de Marsile, le chien. On perd sa trace à la fin de la nouvelle qui parle de lui. On pense ne plus jamais rien savoir de sa vie et pourtant… L’été dernier, par un soir du mois d’août, sur une plage d’Andalousie, une barque retournée aménagée en QG de campagne par un SDF ; avec lui, il y a un chien, un grand chien beige avec des taches qui gambade le long de l’eau. Nous sommes installés à une table du chiringuito (sous d’autres cieux, on appelle paillotes ces « bars de la plage » rustiques) devant quelques sardines et des bières fraîches. Ce chien ressemble étrangement… se pourrait-il que ce soit… mais oui, c’est Marsile, un peu plus efflanqué, mais toujours vif. Il court, saute, s’éclabousse aux vagues, puis s’arrête à côté de la petite table, se laisse caresser… On lui parle de Hans, son œil s’embrume. Sa présence est comme un signe, un encouragement : son histoire peut être racontée, elle peut être éditée et lue. Il est d’accord. Y.D.
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