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En technicolor et version originale

Petite fille, Monique Hoekman, a vécu l’occupation allemande, mais aussi, ô bonheur, la Libération, précisément à la place Simonis de Koekelberg où elle habitait avec ses parents et son frère. Elle a donc connu la liesse de ce jour béni. La vie normale reprit graduellement son cours tout comme la mésentente entre les parents de Monique, ce qui n’entamait pourtant pas la gaieté proverbiale de sa maman, Verena, et le sens de l’humour de son père Léon, homme à neuvaines alcooliques, hélas, mais intelligent et très courageux. Arrive le grand amour, celui qu’on n’oublie jamais. Semée d’embûches (l’homme est marié), elle rompt sa liaison après trois ans avec le plus grand chagrin du monde. Elle se marie enfin avec un homme qu’elle croit fiable et solide, et met rapidement deux enfants au monde, deux fils qui constitueront les piliers de sa vie. Après quatorze ans d’un mariage décevant pour cause de trahisons et de mensonges auxquels on ne penserait même pas, elle divorce, la mort dans l’âme. Avec ses parents devenus âgés, les soucis et chagrins s’amoncellent. Elle frôle même le spectre de l’euthanasie, alors interdite, dans le cas désespéré de sa maman. Mais foin des tristesses et des regrets : la deuxième partie du récit se veut bien plus déridante : péripéties, fous rires, voyages équilibreront plus ou moins sa vie cahotée.

 20,00

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